Au retour de ces deux concerts, l’idée de reprendre l’hommage parisien à
Léo (qui s’est tenu au Trianon en juillet de chaque année de 1994 à
2004) prend corps. Mais il n’est pas question de fêter le frangin le
jour anniversaire de son grand voyage. "On fera ça le 1er mai : ça a de
la gueule, c’est joyeux et ça veut dire quelque chose !"
Voilà pour l’idée, reste... à mettre en chantier le projet ! L’automne
et l’hiver servent à travailler ce qui fleurira au printemps.
Rendez-vous est donné aux humains qui savent ce que Léo portait haut et
fort. les premiers artistes sont approchés. Il faut redire et chanter
Ferré et aussi le prolonger avec le temps présent : chacun et chacune
chanteront le poète et leurs propres histoires.
... En avant pour le premier Premier mai, jour Ferré ! Nous verrons ce
que réserve l’avenir radieux...