Compte rendu de Ronald Creagh

Liberté thérapeutique et vaccinale. par Sylvie SIMON, journaliste et écrivain

Rencontres de Bieuzy 2002. "A notre santé"

médecine — thérapie

La plupart des gens, même ceux qui mangent bio, ont perdu le sens des choses. En matière de vaccination, le bon sens est perdu, y compris chez les scientifiques, qui veulent aller au delà de la nature et entreprendre des choses qu’ils ne peuvent pas maîtriser.
L’éradication de la variole

La variole est présentée comme extrêmement contagieuse, alors que ce n’est pas le cas. L’OMS déclare qu’il n’y a jamais eu d’épidémie foudroyante, la variole n’a pas été éradiquée par la vaccination mais par l’isolement des malades. La lèpre et d’autres maladies ont disparu sans vaccin.
Les virus

Les virus sont beaucoup plus graves que la bombe nucléaire, car il s’agit de toute la vie. On a voulu éradiquer les mauvaises herbes, les insectes, etc. En fait, les microbes deviennent de plus en plus résistants, il y a des insectes tueurs, ce qui n’était pas le cas avant.

Comment peut-on parler de santé quand on introduit dans le corps des métaux, des virus ? Le virus de l’hépatite B est cultivé dans une tumeur mammaire de la souris. Il y a le fait que le vaccin change de terrain et qu’en chassant les microbes on fait venir les virus et ceux –ci peuvent muter.

Nous vivons dans une époque où les gens disent « On verra demain ». Comment des personnes qui ont des enfants ou petits enfants imaginent-ils que trente années avant que les méfaits se déclanchent ce n’est pas grave ? Les schémas montent que la maladie diminue quand on introduit le vaccin. C’est vrai dans le premier temps mais pas sur le long terme
L’hépatite B

Il y a cinq milliards d’individus qui ont été contaminés par l’hépatite B. Or personne n’a dit que c’était une énormité. Un dépliant disait que l’hépatite B tuait plus de personnes par jour que le SIDA. Personne n’a tiqué devant ces mensonges, imprimés avec la caution du ministère de la santé. Une feuille d’information imprime : « L’hépatite B se transmet par les écorchures » : une mère d’enfant sera paniquée en lisant cela. On a dit que d’être vacciné c’est être sûr d’éviter, ce qui est faux car il y a des personnes qui ne sont pas répondants.
Le système immunitaire
Les vaccins en Italie sont obligatoires mais non contraignants : les enfants non vaccinés peuvent aller à l’école. C’est dans l’enfance qu’on construit son système immunitaire.
La généralisation du vaccin

Le prof. Deloge, il y a trente ans, déclarait qu’une pathologie nouvelle verrait le jour si on vaccinait tout le monde.

Cela pourrait être le cas du SIDA…Le taux de SIDA est plus important dans les pays où l’on vaccine le plus. L’OMS en a parlé, mais on a laissé tomber.

Plusieurs vaccins peuvent engendrer des monstres : c’est arrivé pour des soldats du Golfe, qui ont eu des enfants sans yeux, sans jambes, etc. parce qu’on a mélangé pour eux des quantités de vaccins. On a montré que quand on mélange des vaccins, ils provoquent des leucémies chez les souris.

On dit qu’il n’y a pas d’effets secondaires…
Les lobbies

On parle de lobby antivaccin alors que le lobby pharmaceutique est le plus grand.
Quelques maladies.

Le tétanos, déclaré comme maladie très grave : la maladie n’immunise pas, donc le vaccin non plus. Il y a eu des campagnes de vaccination contre le tétanos en 1965 en GB et en France. Ici 682.000 primo-vaccinations et autant de rappels. Il y a eu 20 fois plus de vaccination qu’en Angleterre, et pourtant beaucoup plus de décès.

L’armée française a vacciné tous les soldats en 1936. Le taux de mortalité a été exactement le même qu’avant 1914 où on ne vaccinait pas ; l’armée grecque, où l’on ne vaccinait pas, a eu moins de cas que les Français.

Le tétanos peut se soigner avec du chlorure de magnésium, mais cela est interdit, parce que cela empêcherait les vaccinations.

L’armée américaine a eu 2 millions de blessés au cours de la 2e guerre mondiale et seulement 12 cas de tétanos dont 6 vaccinés. Les deux pays qui ont le plus de cas de tétanos en Europe, la France et le Portugal, sont les deux pays où il y a le plus de vaccins contre le tétanos.

La diphtérie, sans aucune vaccination, a été beaucoup moins répandue en Norvège (54 cas en 1939). Après la vaccination introduite, en 1941, le nombre de cas a augmenté.

La vaccination contre la grippe : les gens âgés qui meurent de la grippe meurent du vaccin : c’est le cas de Jean Marais, par exemple. Les Caisses d’assurance maladie de Loire Atlantique ont arrêté l’expérience au bout de trois mois : il y a eu beaucoup plus de cas parmi les vaccinés que parmi les autres.

Le BCG : aux États-Unis, il n’y a jamais eu de vaccin contre la tuberculose et pourtant elle a énormément décliné, ce qui montre le lien de la maladie avec la nourriture et les conditions de vie. La Grande Bretagne a supprimé le BCG sans cas supplémentaire de maladie.

Les œstrogènes sont dangereux pour les femmes : en France, ils sont toujours utilisés mais ont changé de nom.

Le bacille de Koch a décliné en Hollande sans vaccination alors qu’en France, où on vaccine, il y a beaucoup plus de cas.

Une encéphalite post-vaccinale serait 20 fois moindre qu’en Suisse…
La polyomyélite

L’épidémie est venue de l’ablation des amygdales ; la plupart des paralysies était dans des membres qui avaient reçu ne injection musculaire d’antibiotiques. Le virus de la polyo meurt à 39 degrés or on fait tomber la température de l’enfant avant de le lui inoculer.

Le SV40 du singe a été placé dans ce vaccin par erreur et des millions ont été vaccinés. En 1960, une chercheuse américaine a remarqué que le vaccin a introduit des sarcomes sur ses cobayes. Elle a été renvoyée pour l’avoir dit.

On a déclaré qu’on avait réussi à isoler les virus, et donc qu’on pouvait arrêter la vaccination : on a quand même liquidé les stocks.
Les tumeurs cérébrales

Des enfants qui avaient reçu le vaccin de la polyo : ceci multiplié par 13.
La rougeole
Le risque d’attraper la rougeole est quinze fois plus élevé chez les vaccinés. Les cas ont été multipliés par 18 aux USA.

Journal d’épidémiologie de la Nouvelle Zélande : la rougeole protège des allergies. 98,7 % de cas de rougeoles arrivent chez les vaccinés. La mortalité par la rougeole s’est multipliée par 25 depuis la vaccination. Au Canada, depuis l’introduction de la vaccination, les cas se sont multipliés par 7.

Un vaccin encore plus dangereux que celui de la rougeole : le ROR. 2000 personnes ont déposé plainte en Angleterre contre le gouvernement et les laboratoires, car ce vaccin provoque l’autisme.
La fièvre jaune

42000 soldats américains sur 55000 ont été vacciné contre la fièvre jaune. Ils ont attrapé l’hépatite B, qui n’existait pas encore, ce qui montre que c’est une évolution du virus. Le vaccin de l’hépatite B selon certains témoignages donne immédiatement après à certains enfants des pulsions de suicide.

Le Journal of American Medical Association signale un nombre important d’accidents secondaires. En France, ces accidents passent inaperçus et même déguisés.
Le vaccin de l’hépatite B est un vaccin génétique.

USA : vaccin contre polyo-diphtérie-tétanos : multiplication des enfants autistes. 1 sur 312 aux États-Unis. Dans un État, l’autisme a augmenté de 500%. De même le diabète a beaucoup augmenté parmi les vaccinés.

Depuis 1990 on a payé plus de 1000 milliards de $ de dommages et intérêts aux États-Unis. Ce qui représente plus de 4 millions d’accidents par an.

En conclusion, des vaccinalistes confirmés se sont rendus compte du danger de la vaccination. Les lobbys pour la vaccination sont très forts, d’autant plus que cela rapporte beaucoup d’argent. Il faut que ce soit les consommateurs qui réagissent car même les gouvernements ne peuvent rien faire.

On est motivé par la peur, ce qui fait fonctionner notre civilisation. Vous allez avoir un accident, vous allez être cambriolé, etc. On soigne l’individu contre sa volonté en introduisant une puce dans le corps.

Or toutes les dictatures s’appuient sur la peur. Il faut apprendre à se prendre en main. La maladie a un sens, il faut que les gens comprennent pourquoi ils sont malades.

Débats

Certains pays où le SIDA augmente en Afrique : on a fait des campagnes de vaccination en Afrique. La carte de vaccination du Zaïre et celle du SIDA se confondent ; mais ce n’est pas le cas de l’Afrique du Sud.
Prendre en main sa vie

Il faut donc savoir prendre en main sa pensée. Notre autonomie, le pouvoir de dire oui, non, car il y a des moments où il faut savoir faire des choix, savoir si nos vies sont plus précieuses que nos idéaux, si nous acceptons l’inacceptable, si nous voulons rêver notre vie ou vivre nos rêves.`

La résistance à la misère, à l’oppression ne passe pas par la violence, elle est le refus d’une démission. La santé est subversive car elle rend les hommes difficiles à manipuler.

Pourquoi sommes-nous si mal dans notre peau ? Ou bien les problèmes d’aujourd’hui sont-ils plus difficiles que ceux d’hier ou bien nous sommes dans une impasse.

Et si la finalité des microbes n’était pas de nous rendre malades mais de nous aider ? La santé n’est pas l’absence de maladie mais une façon d’être au monde qui intègre le malade et la maladie dans une dynamique générale de l’évolution. La maladie a un sens individuel et collectif qu’il nous faut apprendre à connaître et à reconnaître.

La guérison n’est pas une victoire sur la maladie mais une

Les microbes sont la conséquence de désordres, ils sont dangereux en cas de système immunitaire déficient.

Se peut-il que le savoir acquis par les disciplines majeures soit fondé sur des bases erronées ? Les microbes font-ils l’amour ou la guerre ?

On ne trouve que ce qu’on cherche : le virus de la dépression, et cætera permettent de vendre de nouveaux vaccins, des méthodes de transgénèse. Qu’importe que les théories soient incomplètes, l’important est que ça marche, chaque nouvelle découverte sert à étayer les théories existantes, entretenues par les multinationales, qui détiennent les monopoles de la santé humain et animale.

Les dogmes fondateurs de cette folie suicidaire sont les microbes et les gènes. Tout est attribué à des microbes ou des virus : les vaccins vont nous guérir même comme contraceptifs. Le gène est fondé sur le mythe de l’ADN, support d’un programme. On nous terrorise en disant que la mystérieuse spirale est responsable.

Puis on nous rassure : la thérapie génique guérira toutes les souffrances.

Il y a un point commun à ces deux façons de voir la maladie, que la cause soit extérieure, le microbe, ou intérieure, le gène : c’est que nous sommes responsables ou impuissants.

L’ADN n’est pas immuable, les mutations ne sont pas aléatoires, Nous ne guérirons aucune maladie génique en introduisant un programme dans les génomes mais en nous prenant nous mêmes en main.

Le système immunitaire n’est pas un système de défense mais de communication, de coopération cellulaire. On part sur des données fausses : les microbes ne se mettent au travail que lorsque l’organisme leur en donne l’ordre exprès à partir du cerveau. Il s’agit de soumettre le troupeau humain à partir d’un idéal établi sur le système industriel.

Le Dr. Meyrieux nous dit que nous sommes tous égaux, nos ennemis sont les microbes mais aussi tous ces marginaux qui refusent la vaccination obligatoire et ne sont, en fait, que des terroristes. La résistance à la vaccination existe depuis Pasteur, et même avant. L’institution agit grâce à une éducation gratuite et obligatoire pour créer une éthique de responsabilité individuelle qui aboutit à faire des moutons de Panurge.

L’accès de tous à l’information – dissimulée, amplifiée, soutenue par les « experts » inféodés à l’industrie – devient une obligation. Intentionnellement désinformé, le citoyen est toujours amené à se considérer comme incompétent. En fait, il s’agit de faire une prison modèle ou les gardes sont inutiles, chacun est suspect pour son voisin, dénoncé de la moindre manifestation de non conformisme. Nous sommes dans une logique formelle, où l’État crée des habitudes qui maintiennent le sujet dans une dépendance totale.

Les expériences princeps du BCG sont frauduleuses. Pasteur est à l’origine du premier trust mondial.

L’engouement mercantile pour la vaccination est à l’origine de produits fabuleux, cela venant de l’idée de base : la maladie vient de l’extérieur. Il faut replacer la politique vaccinale dans le contexte historique et culturel qui l’a fait émerger et assure sa pérennité. La France, déchirée entre l’idée de restaurer l’Empire et le difficile retour à la République. D’où un nationalisme exacerbé qui va se défouler sur d’autres terrains de bataille que militaires : ce sera la santé. Pasteur arrive à point car il trouve l’ennemi universel qu’est le microbe. Il va délivrer le monde, c’est un génie et il est français. On le porte au pinacle. Pasteur se fait mousser et impose ses théories.

Le principe de l’école gratuite et obligatoire est d’inculquer les valeurs de l’élite dominante, en particulier dans la foi dans le progrès scientifique et technique. Coulé dans le moule de la société industrielle, l’école véhiculait ses normes, ses valeurs, un respect des institutions, une foi dans le progrès de la science et une diffusion de son mode de pensée. Elle privilégie l’ordre et la méthode au détriment des facultés créatrices. A peine sorti de l’obscurantisme religieux, nous nous sommes précipités dans un obscurantisme scientiste dont le principal défaut est d’ignorer son ignorance. L’éducation parentale, scolaire et universitaire nous ont appris à considérer tout microbe comme potentiellement pathogène et toute maladie comme potentiellement microbienne.

L’infantilisation des masses engendre tout à la fois la soumission et ses conséquences, les abus massifs de vaccination et de médicaments. Les réformes entreprises ne servent qu’à éradiquer les révolutions : restituer à la femme la toute puissance de la spécificité qui lui vient.

Guérir c’est guérir de la peur, avoir une nouvelle façon d’être. Ne pas projeter le mal en soi sur le monde, en combattant des ennemis extérieurs. Nous devons prendre conscience que la santé est subversive car elle nous rend difficile à manipuler. Il faut revendiquer le droit d’être autonome.

Les maladies infantiles peuvent être traitées par la valorisation des sols pauvres, sans recours à des substances toxiques, un médicament de synthèse a une durée de vie de 5 ans, son recyclage au Sud garantit un remboursement très large.

La recherche ne représente que 50% du budget de la publicité pour les médicaments pharmaceutiques.

Les effets biologiques de la vaccination de masse : ils fournissent aux industriels de l’or une clientèle fiable face au désintérêt

Les campagnes vaccinales, menées comme des campagnes militaires, sont dirigées par les gouvernements, ouvrant la porte du modernisme aux pays « arriérés ». Les équipements sanitaires permettent un recensement des populations, particulièrement des populations minoritaires et des nomades. Modèle d’assignation à résidence, qui débouchera sur la famille nucléaire.

La médecine actuelle est le reflet de la société, incorporant tous les maux du système. Il faut être critique avec les autorités sanitaires, déléguer le moins possible, se donner des bases en médecine pour s’auto-médiquer. Autrefois, les mères de famille savaient soigner avec les remèdes de bonne fame, c’est-à-dire de bonne réputation.

On a éradiqué ce savoir à partir de 1910 à la suite d’un rapport commandité par la banque Rotschild, afin que les écoles de médecine n’enseignent que des informations utiles à faire prospérer les industries pharmaceutiques. La réforme médicale fit passer les écoles de médecine de 650 à 50 ; on enleva aux femmes la connaissance qu’elles avaient de tous temps en gynécologie et en accouchement.

Un minimum de connaissance. Des base simples, saines, pour apprendre à soigner son corps. Promouvoir des centres d’information, pour prévenir et soigner ses maladies. Il ne suffit pas de multiplier les médecins mais les patients capables de se prendre en charge.