MOORCOCK, Michaël John.- Les Danseurs de la fin des temps

littérature : science-fiction* bibliographieMOORCOCK, Michael John (1939-....)

Une société "anarchiste"
DENOËL (Coll. Présence du Futur, 304) .1980.ISSN 0551-9934. Traduction Elisabeth Gille

  • 1988. In-8 Carré. Broché. 758 pages. 1ère et 4 ème de couverture illustrées en couleurs.
    ISBN : 978-2-207-30304-7
    Roman traduit de l’anglais par Elisabeth Gille. Collection lunes d’encres.
  • Traduction Elisabeth Gille - Gallimard Folio SF - Quatre tomes : 274 - 272 - 370 pages
    • 1 -Une chaleur venue d’ailleurs. Folio SF n° 174. 288 p.
      Quatrième de couverture : Dans un million d’années, presque à la fin des temps, l’univers est magique, baroque, somptueusement décadent. Pour les derniers hommes, immortels, tout n’est que jeu. Jeux sexuels qu’aucun tabou ne limite, jeux morbides où la mort n’est jamais définitive. On change la face de la Terre, on joue avec les éléments, avec le temps, on incendie des continents entiers pour la beauté du spectacle. Jusqu’à la fameuse Orchidée de Fer à qui vient l’idée originale de devenir mère ! Son fils Jherek va lui-même se singulariser en tombant amoureux de la belle Amélia, qu’il est allé quérir dans la banlieue de Londres à l’ère victorienne. Fort choquée par la dépravation ambiante, la tendre et pudique jeune femme s’efforce de convertir son soupirant. Mais les compagnons de jeu de Jherek vont pimenter l’affaire à leur façon...
    • Tome 2 : Les terres creuses. Folio SF, n°179. juin 2004. 270 p.
      Quatrième de couverture : Jherek Carnelian, un des Immortels de la Fin des Temps, est tombé éperdument amoureux d’une prude jeune femme qu’il avait arrachée à l’ère victorienne. Et voilà que la belle Amelia disparaît dans les pièges de l’espace-temps, pour le plus grand désespoir de Jherek dont les langueurs commencent à sérieusement agacer ses contemporains. Mais veille le dieu de l’amour et du hasard : catapulté en plein XIXe siècle, Jherek y rencontre H. G. Wells himself, qui se fait un devoir de le conduire chez la belle.
      Mais Mr Underwood, en mari jaloux qui n’a jamais entendu parler de voyage temporel, ne va certainement pas se satisfaire des explications confuses de Madame... Flamboyant et baroque, peuplé de personnages fabuleux, le cycle des Danseurs de la Fin des Temps, trois
      romans et trois longs récits, est à rapprocher du chef-d’œuvre de l’auteur : Gloriana ou La reine inassouvie.
    • Tome 3 : La fin de tous les chants/ Folio SF n° 181, juillet 2004. 384 p.
      Quatrième de couverture : Propulsés par une indocile machine à voyager dans le temps sur une plage de la préhistoire, Jherek Carnelian et sa belle Amelia pourraient enfin laisser libre cours à leur passion, s’ils trouvaient au moins de quoi se sustenter...
      Echappant in extremis à la mort par inanition, ils rejoignent l’époque de Jherek pour y apprendre une terrible nouvelle : partout, les Galaxies ont commencé à exploser et notre bonne vieille Terre semble condamnée à brève échéance...
      Est-ce donc vraiment la fin des temps ? Est-ce donc vraiment la fin des rires et des chants ?
    • Tome 4. Légendes de la fin des temps. Folio SF n° 184, septembre 2004. 288 p.
      Quatrième de couverture
      Ce recueil de nouvelles s’articule autour de la trilogie qui commençait avec Une chaleur venue d’ailleurs et s’achevait avec La fin de tous les chants. Dans ce lointain avenir où les hommes n’ont plus qu’à jouir des progrès accomplis par les innombrables générations précédents, le seul danger à éviter, c’est l’ennui. Et le seul service que l’on puisse rendre à un ami, c’est s’ingénier à le distraire. Ainsi fait, avec une bonne dose d’imagination et d’humour, la concubine Éternelle pour ranimer la flamme de son mélancolique amant, Werther. Et de pantomime en mascarade, l’Éternité déroule ses fastes pour les immortels.