Chapitre I : Théoriciens, militants et écrivains anarchistes à la fin du XIXe siècle

« A quoi bon le sens des arts, si c’est pour l’étouffer chez les multitudes, et ne le cultiver qu’à grands frais chez quelques vaniteux artistes ? » (Louise Michel, L’Ere nouvelle, 1887) Louise Michel (1830-1905)

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La propagande anarchiste (fin)

« Nous ferons naturellement une large place à la littérature contemporaine » Les brochures, poèmes, chansons ou textes divers jouent évidemment un (...)

La propagande anarchiste (suite)

B. Le personnage du trimardeur Personnage important dans le mouvement libertaire, le trimardeur anarchiste fait le tour de la France (et (...)

La propagande anarchiste

« Faire de la propagande » Il faut s’attarder sur ce terme de propagande, tant ses connotations péjoratives sont fortes à notre époque . Le mot, (...)

Les militants des années 1880 : Kropotkine, Grave et Pelloutier

Dans les années 1880, l’art est omniprésent dans la réflexion anarchiste : presque tous les textes théoriques y consacrent un chapitre. Tout en (...)

La réflexion des théoriciens anarchistes sur l’art (fin)

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La réflexion des théoriciens anarchistes sur l’art (suite)

. L’art selon Proudhon et Bakounine Le cas de Proudhon est délicat : tout en reconnaissant son admiration pour son ami Courbet, on lui a souvent (...)

A La réflexion des théoriciens anarchistes sur l’art

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La spécificité du mouvement anarchiste en France avant 1900

Pour saisir ce qui a permis la rencontre entre artistes et théoriciens anarchistes à cette époque, il convient de bien cerner ce qui fait la (...)