Introduction : Combattre l’orthodoxie
La littérature écrite par les anarchistes n’est pas une littérature confortable. Elle est à l’image de la révolution anarchiste, qui ne consiste pas à (...)
La littérature écrite par les anarchistes n’est pas une littérature confortable. Elle est à l’image de la révolution anarchiste, qui ne consiste pas à (...)
Dans cette optique, l’ironie n’est pas seulement ce qui empêche toute sacralisation du discours, c’est aussi ce qui maintient la possibilité d’un (...)
L’idéal de l’écrivain anarchiste, c’est donc d’être un « retourneur d’idées » (comme Han Ryner), mais non un dictateur. L’écrivain anarchiste serait, en (...)
La fable de Han Ryner qui conclut Les Voyages de Psychodore (1903) s’appelle « Les Voyageurs ». Les voyageurs n’ont jamais quitté leur pays, mais (...)
L’écriture paradoxale : contre les lieux communs. - Repenser (reformer) les liens sociaux La littérature écrite par les anarchistes n’est pas une (...)
L’œuvre de Georges Eekhoud donne de nombreux exemples de personnages de bourgeois en voie de marginalisation, tentant de devenir, non des (...)
Il faut que la Révolution ne devienne jamais un dogme. Victor Barrucand l’écrit ainsi dans La Revue blanche dans un article sur Alexandre Herzen : (...)
« Prince, Tsar que les historiens s’apprêtent sans doute à classer sous la rubrique ingénieuse de nos Césars anarchistes, à toi je dédie cette feuille (...)
La figure du détournement est essentielle dans la littérature des anarchistes. Que ce soit par la parodie (pratique hypertextuelle qui consiste à (...)
Comment, donc, éviter que les chemins mènent toujours quelque part ? Comment se prémunir contre le dogmatisme ? Comment échapper à l’esprit (...)
La question de l’intégration et de l’exclusion, de la norme et de la doxa, nous amène à aborder le problème de la loi. Peut-on imaginer une société (...)
Tout récit construit son destinataire. Comment apparaissent donc les destinataires des fictions des anarchistes ? Loin du lecteur que l’on doit (...)